Peut-être devrions-nous revoir l'appellation de droit au retour. Il serait pertinent de trouver une expression plus encourageante car, après avoir vécu des situations difficiles, revenir à l'état antérieur n'est pas vraiment ce que l'on souhaite. Il serait judicieux de réfléchir à une autre formulation, en concertation avec les jeunes. Cette notion de droit au retour est peut-être l'une des raisons pour lesquelles sa mise en œuvre est si compliquée.