Nous sommes bien conscients que le centenaire de la deuxième guerre mondiale nous attend dans vingt ans. Il faut qu'à la fin de la mission de la Libération, nous ayons conçu un pont entre les modes de commémoration que nous avons connus jusqu'alors, avec la présence physique des vétérans, et les commémorations de demain. Nous nous efforcerons de travailler cette articulation l'an prochain.