Ce travail est principalement assuré par les associations antinucléaires. Moruroa e tatou, qui est un acteur associatif historique, demande de supprimer la loi Morin, qui est inefficace, pour la remplacer par une autre loi. Pour sa part, l'Association 193 considère qu'il faut améliorer cette loi, et en particulier son application par le Civen.
Quoi qu'il en soit, c'est principalement par l'intermédiaire des associations Moruroa e tatou et 193 que les Polynésiens entendent parler de la loi Morin, et non par des services de l'État.