Selon moi, la croissance de la dette, dont la contrepartie a porté sur les baisses d'impôts et un certain nombre de dépenses publiques, a bénéficié au pouvoir d'achat des ménages et au maintien d'un taux de marge satisfaisant pour les entreprises.
Ensuite, actuellement, les marchés financiers sont tels que les produits sont effectivement, diversifiés : des étrangers achètent de la dette publique française et des institutions françaises préfèrent détenir de la dette étrangère pour des raisons de rentabilité. Enfin, je ne crois pas au retour aux 3 %.