S'agissant des dépenses de logement, beaucoup l'ont dit : ce secteur fait l'objet de très nombreux dispositifs d'exonération et de déductions fiscales. Je plaide pour que nous engagions une réflexion sur cette politique, qui met en jeu d'importantes dépenses publiques. Les dépenses de logement rapportées au PIB sont deux fois plus élevées en France que chez l'ensemble de nos partenaires. Sommes-nous, pour autant, deux fois mieux logés ? Je ne le crois pas.
Bien évidemment, je suis prêt à travailler sur cette question. Dans cette perspective, je retire mon amendement.