M. Denormandie a évoqué un problème de financement de la recherche qui freine l'identification de solutions alternatives aux néonicotinoïdes pour la culture de la betterave. Avez-vous été confronté à cette difficulté ?
N'a-t-on pas opté trop vite pour une indemnisation des betteraviers en cas de perte de rendement plutôt que de tenter de négocier avec les institutions européennes ?