Je pense pouvoir tirer de ce que vous dites une conclusion au moins : à l'époque, on n'a pas pris conscience du fait que des décisions motivées par des enjeux de santé pouvaient induire des distorsions de concurrence. On n'en a pas tenu compte.
Vous dites que personne n'a remis en cause l'interdiction des CMR1, mais les autres pays européens, tout au moins, ne la valident pas, puisqu'ils n'ont pas pris les mêmes mesures.