Cela dépend de ce que vous avez fait en matière de pilotage des marges en année 2, en année 3, etc., et sur quels produits vous avez fait des baisses. Nous avons pu dire pour quels produits nous étions au SRP en 2018, ce qui nous a obligés, en vertu de la loi, à monter de 10 %. S'agissant de ce que j'ai qualifié d'effort – mais ce n'était pas forcément un effort, parlons plutôt de revalorisation –, trois filières ont essentiellement été concernées. La première, comme pour l'ensemble de nos concurrents, et c'était très public, était celle du lait. La revalorisation du prix du lait a fait l'objet de communiqués de presse et je pense qu'une bonne partie du produit de la hausse du SRP a été orientée dans cette direction en 2019 et 2020. La deuxième filière qui a été revalorisée à l'époque, en tout cas chez nous, est celle du porc. Quant à la troisième, il s'agissait des fruits et légumes. La revalorisation a porté à ce moment-là, pas seulement mais de manière assez large, sur ces trois filières.