Une mission a été lancée pour travailler à la création d'un fonds pérenne à destination des agriculteurs bio dont les cultures sont contaminées par des traitements opérés par d'autres qu'eux.
Parallèlement, un travail sur l'utilisation d'équipements qui limitent la dérive des produits a été mené ; nous souhaitons qu'il soit pris en compte dans les travaux d'homologation de l'Anses ou de l'Efsa. Nous avons saisi l'Anses, et l'Efsa se donne jusqu'en 2025 pour étudier cela. Nous soutenons ce type d'équipements pour rendre notre approche plus préventive. Les buses anti-dérives, par exemple, permettent de limiter la volatilité aérienne des produits. Notre but est à la fois de traiter ce qui s'est passé et de faire en sorte que cela ne se reproduise pas.