C'est évidemment difficile à dire. Nous nous efforçons d'améliorer nos méthodes analytiques, surtout lorsque nous les soupçonnons d'être imparfaites. Nous nous appuyons sur les protocoles des LNR, qui eux-mêmes se réfèrent à des laboratoires de référence de l'Union européenne (LRUE) ; le processus de développement et d'étalonnage des protocoles est long. Je ne pense pas que nous disposions de protocoles capables d'annihiler l'action de tous les produits masquants, mais la DGCCRF, la DGAL et la DGDDI poursuivent, notamment dans des laboratoires communs, le travail de recherche visant à perfectionner nos méthodes analytiques.