Un plan d'arrachage de 8 000 hectares a été engagé l'année dernière dans le vignoble bordelais ; les producteurs doivent choisir entre la diversification et la renaturation pendant vingt ans : selon le communiqué du préfet, cette deuxième solution doit concerner 4 000 hectares. La renaturation interdit même de laisser une vache paître sur les parcelles. Pourquoi a-t-on imposé une telle obligation de renaturation ?