Il est compliqué d'avoir une vision erga omnes, d'où le choix d'étudier la compétitivité de chaque filière séparément. Un travail aggloméré nous conduirait à additionner des choux et des carottes ; au sein de chaque filière, les dynamiques divergent en fonction du positionnement qualitatif des produits. Il serait très difficile de quantifier théoriquement l'impact économique de la surréglementation.