Nous sommes suffisamment critiques de la politique du Gouvernement pour ne pas rester ouverts à la solution que vous avez trouvée et qui semble satisfaire les agriculteurs les plus concernés. Nous pouvons toutefois nous demander si l'État ne pourrait pas, par l'intermédiaire de ses institutions financières, comme la Caisse des dépôts et consignations, placer de l'argent qui ferait des petits, comme le font les assurances, afin de limiter l'exposition des contribuables à ce service rendu aux agriculteurs et à la Nation. C'est une proposition ouverte, pas une attaque. Les aléas vont se reproduire et l'État pourrait utiliser ainsi le marché, qui présente tout de même quelques avantages.