La charge d'intérêts de la dette représente le deuxième budget de l'État et occupera, quoi qu'il arrive, la première place en 2027, date à laquelle elle excèdera probablement 80 milliards. Cela amputera nécessairement les marges de manœuvre de l'État. À combien s'élèveront, selon vous, les besoins de financement supplémentaires – lesquels nécessiteront des hausses de taxes et d'impôt puisque les dépenses ne semblent pas baisser ? Autrement dit, à quoi s'expose-t-on en matière fiscale ?