Les données proviennent de la Banque de France ; nous les publions dans le rapport d'activité. Sur la durée, la part des non-résidents tend à baisser, notamment dans la période récente. Cela s'explique en partie par les politiques d'assouplissement monétaire qu'applique la BCE dans le cadre du PSPP, le programme d'achat de titres publics, et du PEPP, le programme d'achats d'urgence face à la pandémie. Si on ne tient pas compte de ces programmes d'achat, la part des résidents et celle des non-résidents sont très stables.