Votre métier est de sécuriser la dette, nous le comprenons bien. Nous posons une question qui nous paraît de bon sens : nous préférerions que notre dette soit entre les mains d'amis plutôt que de potentiels adversaires. Nous sommes surpris que nous ne disposions apparemment pas de moyens techniques pour savoir si des fonds dépendant de puissances pouvant avoir un effet négatif sur notre pays puissent être un jour mobilisés. J'entends que nous n'avons pas l'information ; vous n'êtes pas le premier à nous le dire.