Sur le fond, je rappellerai ce principe qu'on m'a toujours appris : il n'y a pas liberté sans responsabilité, sinon, c'est la jungle et pas l'humanisme. Mon avis n'est pas fait sur ce texte mais ces amendements me semblent flirter avec une idée qui m'inquiète. On laisserait la possibilité au patient de ne pas assumer jusqu'au bout la décision qu'il a prise, après avoir réitéré par deux fois sa volonté, alors qu'il s'agit d'un choix grave et pas seulement pour lui-même. L'acte est grave aussi pour les parlementaires qui votent ce texte, pour la société tout entière, pour nous tous.