Pour aller dans le sens de mes collègues, nous n'avons aucune idée des répercussions psychologiques sur le tiers. Administrer la mort n'est pas un acte anodin. Chez le proche, le parent, l'enfant qui injecterait la substance létale, les conséquences psychologiques pourraient être terribles. Il serait plus sage, plus sûr, plus prudent, de rappeler que seule la personne en fin de vie qui en fait la demande peut s'administrer la mort. N'impliquons pas ses proches.