En 2015, c'est également Emmanuel Macron qui a défendu la vente d'Alcatel-Lucent au Finlandais Nokia, en écartant « toute vision romantique vis-à-vis des grandes entreprises françaises ».
Je le répète, nous soutiendrons ce texte, utile mais bien trop timide pour faire face à l'ampleur des périls qui nous menacent. Nous espérons que votre conversion au patriotisme économique n'est pas un énième leurre, car les périls de la guerre informationnelle sont malheureusement devant nous.