Nous nous apprêtons à poser l'un des actes les plus graves, sans doute, de notre mandat de parlementaires. Oui, il s'agit d'une transgression, comme l'a suggéré le Conseil d'État. Il m'a fallu du temps pour l'accepter. Je n'avais pas voté la proposition de loi donnant le droit à une fin de vie libre et choisie, dont Olivier Falorni était le rapporteur en 2021.