Si ce droit nous est accordé, ce ne sera bien sûr pas une obligation : ce sera la décision de chacun, et non quelque chose d'imposé. Il faut tenir compte du corps médical et de la science. C'est un sujet trop important – à mon cœur, parce que je l'ai vécu dans ma chair, mais je ne suis évidemment pas le seul dans ce cas. Les Français n'attendent qu'une chose : connaître les conditions dans lesquelles ils pourront accéder à l'aide à mourir de leur propre gré, s'ils le souhaitent. C'est tout. Ils se moquent de la sémantique.