Après réflexion avec nos partenaires internationaux, nous avons jugé qu'il n'était pas pertinent d'acquérir un brise-glace. En revanche, un financement de près d'un milliard d'euros a été attribué à la recherche polaire, ce qui permettra de financer la construction d'un navire océanographique, le Michel-Rocard, capable de résister à la glace. L'IPEV et d'autres organismes l'emploieront pour leurs missions en Arctique et en Antarctique.
Nous nous intéressons par ailleurs aux ressources disponibles en Antarctique, dans le cadre bien circonscrit de notre politique relative à la prospection et à l'exploitation des fonds marins et des ressources naturelles – cadre que ne partagent pas nécessairement la Chine et la Russie.