Je me joins à mes collègues pour déplorer la rétribution insuffisante des vacataires et leur statut précaire.
Ma question porte sur un secteur de pointe, la recherche spatiale, dont le financement est difficilement lisible puisqu'il relève de plusieurs missions, du plan de relance et d'apports internationaux. Nous avons appris que 192 millions d'euros de crédits destinés au Centre national d'études spatiales (CNES) seraient annulés. Le confirmez-vous ? Cela affectera-t-il le financement de l'Agence spatiale européenne (ESA) ?