La différence ne se situe pas vraiment à ce niveau. Ce sont surtout les questions environnementales qui nous séparent. Nous sommes d'accord sur le fond mais pas particulièrement en ce qui concerne la vitesse et les moyens à employer. Sur le fond, nous sommes d'accord pour que les produits nocifs pour la santé ne soient plus utilisés, et ce le plus tôt possible. Nous prônons pour notre part une transition plus douce et mieux adaptée à l'état de nos connaissances et à notre capacité de mobiliser les agriculteurs – ce n'est pas par la contrainte que nous y parviendrons.