La première raison est que, pendant des années, nous n'avons pas repensé l'événement. Nous l'avons fait trop tardivement. La deuxième raison est que le secteur des agroéquipements traverse actuellement une crise assez profonde, et que les entreprises internationales et même françaises ont dû réduire certaines dépenses, comme la communication et le marketing, incluant les participations aux salons. La troisième raison est que n'arrivions pas à motiver les agriculteurs. Les deux tiers des visiteurs étaient frustrés de ne pas pouvoir se payer les machines qu'ils avaient découvertes. La France est le premier marché européen d'agroéquipements et le troisième pays producteur. Il est inconcevable que nous n'ayons pas de salon. Nous avons besoin d'être aidés.