Le rétrofit serait une autre piste. Les constructeurs ne souhaitent que produire des machines neuves, équipées de systèmes intelligents de pulvérisation, mais il est également possible de produire des kits adaptables à des pulvérisateurs existants. Au lieu de devoir investir dans un nouveau pulvérisateur à 400 000 euros, les agriculteurs pourraient acheter un kit qui coûterait entre 30 000 et 50 000 euros et l'installer sur leur ancien pulvérisateur. Je pense que si par exemple ces kits étaient subventionnés à 50 %, ce serait un bon emploi de la ressource publique. L'agriculteur pourrait amortir son investissement en un an.