Non, nous sommes dépendants à 80 % au niveau des machines. Je dirige l'une des deux entreprises françaises du secteur et je suis le seul à exporter. En revanche, nous sommes largement leaders dans le domaine du tri optique basé sur l'intelligence artificielle. Comme je vous l'ai expliqué tout à l'heure, plus de la moitié de notre chiffre d'affaires est réalisée à l'exportation. Le Canada est notre premier marché à l'étranger mais il y a deux ans, nous n'y vendions pas une machine. Nous nous sommes développés en Australie, en Nouvelle-Zélande et partout en Europe.