Nous sommes face à un dilemme. D'un côté, nous voulons généraliser les directives anticipées et en faciliter l'accès ; de l'autre, il faut, à juste titre, protéger celles et ceux qui, pour des raisons personnelles de facilité, auraient donné un accès à leur espace à un tiers. C'est pourquoi je me permets de vous renvoyer moi aussi, mesdames et messieurs les députés, à l'amendement du rapporteur, qui a pour objectif de sécuriser l'accès de celles et ceux qui auraient demandé à des proches aidants de les accompagner dans la rédaction de leurs directives anticipées. Avis défavorable à ces amendements identiques.