Il est écrit dans l'amendement de M. Frappé que « [d]ans le cadre du suicide assisté ou de l'euthanasie, le médecin doit prendre en compte l'avis de la personne de confiance expressément indiquée dans les directives anticipées ». Depuis tout à l'heure, nous affirmons qu'il y a une vraie étanchéité entre le titre Ier et le titre II du texte. Les directives anticipées donnent une information qui peut être utilisée par les médecins et les personnels soignants qui suivent le patient, ainsi que ses proches. Le patient peut alors bénéficier de la sédation profonde et continue, qui est déjà inscrite dans notre loi.