Je suis défavorable à votre amendement pour deux raisons. En premier lieu, vous parlez d'un « plan personnalisé d'aide à mourir » alors que nous discutons, au titre Ier , de l'article 3, qui traite du « plan personnalisé d'accompagnement ».
Par ailleurs, il faut être conscient que, dans notre pays, 700 000 mineurs aident un proche au quotidien. Il est important de reconnaître cette réalité.