Nous refusons que la fin de vie soit soumise aux logiques comptables, aux économies de bouts de chandelle commandées par les fonds d'investissement. Nos concitoyennes et concitoyens ont déjà trop souffert de la marchandisation des plus vulnérables, que ce soit celle des plus petits, qui subissent le rationnement des couches dans les crèches privées, ou celle de nos aînés, privés d'accès aux soins d'hygiène les plus élémentaires.