Lors des auditions, le manque de formation a souvent été pointé du doigt, notamment en ce qui concerne l'administration de la sédation profonde et continue. L'objectif de cet amendement est de préciser de quelle formation il est question à l'alinéa 4.
L'approche palliative est finalement mal connue et peu maîtrisée ; cela a été dit, elle nécessite des compétences multiples, dans le champ de l'antalgie, de la gestion des symptômes et souffrances et elle doit aussi prendre en compte la souffrance psychique, sociale et spirituelle.
Pour toutes ces raisons, il me semble nécessaire de préciser à l'alinéa 4 qu'il convient de créer un « diplôme d'études spécialisées complémentaires en vue de valider la spécialisation en soins palliatifs ».