Je regrette profondément le vote de notre assemblée. Le débat que nous avions entamé méritait d'être poursuivi. Je pense qu'il s'agit d'une erreur politique et d'une occasion manquée. Je le regrette sincèrement, car notre pays a besoin de ce débat et nous aurions pu esquisser ensemble un geste profondément rassembleur.
J'ai bien noté, cher collègue Gouffier Valente, votre main tendue, dans la discussion générale. Nous verrons ce qu'il en advient, mais je suis désolé du choix qui vient d'être fait.
Permettez-moi, pour que les choses soient claires, de citer la phrase d'Ambroise Croizat, déjà évoquée tout à l'heure par Elsa Faucillon : « Jamais nous ne tolérerons qu'un seul des avantages de la sécurité sociale soit mis en péril. Nous défendrons à en perdre la vie et avec la plus grande énergie cette loi humaine et de progrès. »
Je retire ma proposition de loi.