L'intervention de M. Cazeneuve est éloquente. Pour notre part, nous sommes pour le droit aux loisirs et au repos, et le fait qu'il soit mentionné dans le Préambule de la Constitution de 1946 n'est pas suffisant ; il faut le rendre effectif. Il en va de même du droit au logement, qui n'est malheureusement pas opposable en pratique, malgré la loi Dalo de 2007.