Le Ceta est aussi un crime politique. C'est un nouvel acte d'allégeance aux multinationales qui étend toujours plus le dumping social, réglementaire et écologique. Pleinement en vigueur, s'il devait être ratifié définitivement, il offrirait aux multinationales des privilèges juridiques absolument inacceptables, leur permettant d'attaquer les États devant des tribunaux d'arbitrage spéciaux, pour contester les lois sanitaires et environnementales défavorables à leurs intérêts.