Comme le dit la chanson, « j'étais tranquille, j'étais peinard ». C'était sans compter sur la colère de nos éleveurs qui, avec constance, ont remis le sujet des traités de libre-échange sur le devant de la scène ; sans compter non plus sur l'adoption par le Parlement européen d'une résolution priant instamment dix pays, dont la France, de ratifier rapidement cet accord.