Madame la ministre, vous n'étiez pas ministre de la santé à ce moment-là, mais nous avons connu des déconvenues à propos du dernier PLFSS. Quand on aime, on ne compte pas : nous, nous n'avons pas aimé les 49.3 et il y en a eu dix-neuf. Je tenais à le rappeler.
J'ajoute que nous en sommes au moment le plus important de l'examen du texte. Pourquoi ? Parce que c'est cet article qui va donner sa pleine puissance et sa crédibilité à tout le reste. Nous devons non seulement garantir l'accès aux soins palliatifs à tous les Français sur tout le territoire, mais aussi obliger le Gouvernement à déployer les moyens lui permettant de tenir sa parole, afin de conforter le titre II du projet de loi.