Je reprends à mon compte ce qu'a dit M. Dharréville : la loi fixe l'objectif. Je suis désolée si mes propos ont pu le heurter, car mon idée était bien de faire de l'accès aux soins palliatifs un droit effectif. Or chacun sait que seul le PLFSS donnera sa pleine effectivité à la loi en discussion, en allouant chaque année le budget nécessaire pour déployer la stratégie nationale des soins palliatifs. Ainsi le veulent les institutions organisant le fonctionnement de notre pays.