On a cependant le droit d'être opposé à l'aide médicale à mourir – c'est une position compréhensible et respectable.
En revanche, juste avant l'intervention de notre collègue Bentz, il a été dit que nous devrions rassurer les parents d'enfants handicapés et les enfants de patients hospitalisés en gériatrie. Cet argument est inacceptable : vous alimentez des fantasmes !