Quant à vous, madame la ministre, vous affirmez tout à fait autre chose – on a d'ailleurs bien compris qu'entre le rapporteur général, la présidente de la commission spéciale et vous-même, ce sont deux, voire trois approches de ce texte qui sont défendues.
Vous avez cherché à nous rassurer hier, en assurant que l'aide à mourir ne faisait pas partie des soins d'accompagnement.