Vous avez au contraire déposé un texte unique, dont les deux parties sont liées par le mot accompagnement. Nous considérons au contraire qu'il n'y a pas de continuum, mais une alternative entre les soins palliatifs – qui requièrent les compétences de médecins, d'infirmières et d'aides-soignantes qui ne veulent pas être associés à la deuxième partie du texte – et l'aide à mourir.
La preuve qu'il s'agit bien d'une alternative est que ceux qui se consacrent aux soins palliatifs ne veulent pas d'une évolution vers l'euthanasie. Ainsi, en Belgique, comme en témoigne le docteur Catherine Dopchie ,