Il faut conserver l'alinéa 13 qui vise à réécrire l'article L. 1111-2 du code de la santé publique et témoigne de l'importance accordée aux soins palliatifs : toute personne « est également informée de la possibilité de recevoir, lorsque son état de santé le permet, les soins sous forme ambulatoire ou à domicile, notamment les soins palliatifs et d'accompagnement mentionnés à l'article L. 1110-10 ». Je me suis beaucoup répétée, madame Ménard, j'ai donné les chiffres et je veux bien recommencer autant de fois que vous le souhaitez : le présent texte vise à augmenter les moyens alloués aux soins palliatifs. On ne veut pas les détruire, vous ne pouvez pas dire cela : nous cherchons au contraire à en assurer l'avenir, en renforçant la formation et la recherche, et en créant un diplôme d'études spécialisées de médecine palliative. Avis défavorable.