Ainsi, soins palliatifs et aide à mourir ne s'excluent pas mutuellement car les premiers ne réussissent pas toujours à apaiser certaines douleurs. Par exemple, les patients souffrant d'une maladie pulmonaire provoquant des suffocations ne pourront pas se procurer d'antidouleurs adaptés.
Il faut laisser à celles et ceux qui le souhaitent la possibilité de mettre un terme à leur vie, lorsqu'ils sont atteints d'une maladie qui les prive de l'espoir de retrouver une vie digne.
Encore une fois, madame Genevard, les soins palliatifs ne s'opposent pas à l'aide et à mourir ; les deux vont de pair.