Je pense – du moins j'espère – que nous sommes toutes et tous convaincus de l'intérêt des structures spécialisées dans les douleurs chroniques, qu'ont souligné la ministre et le rapporteur. Quant à moi, je suis convaincu de leur utilité pour les personnes qui souffrent.
Confirmez-vous que le délai de prise de rendez-vous en centre antidouleur atteint six mois ? Les mesures que vous défendez permettront-elles de le résorber et, si oui, dans quelle ampleur ?
Je crois que ces structures doivent être intégrées au dispositif d'accompagnement des malades. Elles sont essentielles et nous devons leur accorder l'importance qu'elles méritent : l'adoption de l'amendement soutenu par Mme Faucillon y contribuerait.