Vous citez à raison la professeure Valéria Martinez, dont j'ai bien entendu les appels à la vigilance. Je rappelle toutefois que la France dispose de 274 unités de prise en charge de la douleur, et que la SFETD existe.
Votre amendement évoque les douleurs chroniques, dont la professeure Martinez parle comme d'une véritable maladie destructrice, réfractaire à tout traitement. Ces douleurs sont telles qu'elles peuvent détruire la relation entre les patients et leurs médecins et conduire certains malades au suicide ou à la demande d'une aide à mourir.
Cependant, les alinéas 8 et 9 de l'article 1