Permettez-moi de revenir sur trois points. Premièrement, je répète que les besoins sont bien plus liés aux évolutions des pathologies qu'à l'évolution démographique.
Deuxièmement, vous m'interrogez sur la possibilité d'instaurer l'aide à mourir, alors même que certains départements sont dépourvus d'un accès aux soins palliatifs. Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas d'USP qu'il n'y a pas de soins palliatifs : il existe des unités mobiles, ainsi que l'hospitalisation à domicile.