Vous proposez d'employer le pluriel pour prendre en compte la diversité des formes que revêtent la douleur et la souffrance. Ces dernières renvoient nécessairement à des expériences personnelles dont les manifestations varient d'un individu à l'autre et elles sont appelées à évoluer. Le singulier employé dans le texte du projet de loi ne visait pas, vous l'aurez compris, à réduire la douleur et la souffrance à un type unique mais renvoyait plutôt à un concept regroupant des réalités diverses. Je comprends vos intentions, madame Rilhac, mais je m'en remets à la sagesse de l'Assemblée.