Elle basculera ensuite dans les minima sociaux, sans compter qu'elle ne validera plus de trimestres de retraite – comme c'était le cas dans le passé – et que sa future pension subira une terrible décote. C'est brutal, injuste et surtout cynique, quand on sait que l'assurance chômage est excédentaire et qu'il s'agit bien de ponctionner des cotisations qui serviront à autre chose qu'à indemniser. Ma question est donc à la fois simple et précise : quand vous aurez fini d'essorer ceux qui ont perdu leur emploi, dans quelle poche envisagez-vous d'aller chercher la suite ?