Je veux bien concevoir les imperfections de cet amendement, mais il vous est loisible de le sous-amender, c'est le principe même du débat parlementaire.
La question que nous posons ne concerne pas les petits porteurs ou les titulaires d'emprunt russe : elle concerne les grandes entreprises françaises que nous laissons prospérer en Russie et qui, de ce fait, participent de la consolidation d'un régime que, par ailleurs, nous avons voulu sanctionner.