Oui, il y a la mort : nous sommes devant des patients qui sont souvent engagés dans une phase terminale – on reviendra sur ce terme. J'ai interrogé la fédération Jalmalv (Jusqu'à la mort, accompagner la vie), qui n'est pas partisane de l'aide à mourir. Ses membres m'ont dit qu'ils accompagnaient, et qu'ils accompagneraient aussi les patients demandant l'aide à mourir. Ce n'est pas ce qu'ils revendiquent, bien sûr, mais, s'ils commencent d'accompagner un patient, ils le feront jusqu'au bout.